Parmi les toiles exposées en 1943 à la Rotonde du Capoul (Toulouse) figuraient :
Le retour de pêche / Les bourreliers à Sfax (Tunisie) / L’enfance de Bacchus / La menace d’orage
Parmi les tableaux exposés à la Galerie de l’Entr’aide (Toulouse) en 1943 figuraient :
Pastorale / Le retour de pêche / Bacchus enfant / Bacchus ivre / Le Désir / La Danse
Parmi les tableaux exposés à la Galerie La Boétie (Paris) en 1948 figuraient :
Le retour de pêche / Le Jardin de Bonnard au Cannet (acheté par l’État directement auprès de l’artiste en 1949) / Printemps en Ariège / La Source et le berger
Parmi les tableaux exposés en 1951 au Conservatoire de musique de Meknès (Maroc), une quarantaine d’œuvres au total-, figuraient des huiles et des gouaches dont des paysages d’Ariège, du Val d’Andorre, de la Côte d’Azur, de Normandie et du Maroc :
Moulay Idriss (Hst) / Kissaria (Hst) / Dar Jamal (Hst) / Vallée de Mouzari (Hst) / Vues de Nice, d’Antibes, de Cannes et, par opposition, d’Honfleur. / Printemps dans les Pyrénées (Gouache) / Nice au matin (Gouache) / L’Estérel (Hst) / Crépuscule en montagne (Hst) / L’Église de Luzenac (Ariège) (Hst) / Vieilles granges (Hst) / Le retour de pêche (Hst) / Vers les étoiles (Hst)
Parmi les tableaux exposés à la Galerie Chappe (Toulouse) en février 1951 (une présentation de toiles de l’Ariège, de l’Andorre, de la Côte d’Azur et de la Normandie) figuraient :
L’Eglise de Saint Jean de Caselles (Hst « avec un contrejour qui fait ressortir la lumière») / Andorre la Vieille / Santa Coloma / Scène de battage (« très travaillée où l’or de la paille éclaire un paysage vert, sans ciel »)
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition de Saint-Girons Salle du Conseil municipal en mai 1951, plus de vingt tableaux exposés» dont :
Le Vallier sous la neige / Le Vallier au printemps « où le vert clair des pâturages s’harmonise avec l’éclat finissant des neiges » / Le Vallier en été « avec le triomphe des verts » / Les bergers en montagne « après la traite des vaches » / Les bergers dans leur cabane fabriquant le fromage / Toits de chaume de la région d’Ercé (« sur fond de cimes neigeuses ») / Pâturages au pied des monts (« avec chevaux en mouvement ») / Les baigneuses (« allongées nues dans la vallée de l’Esbintz ») / Vieille église de Luzenac (« luisante et miroitante sous la pluie ») / Scène de battage à Seix (« puissante évocation d’une atmosphère suffocante ») / Vue de Cannes « qui oppose avec bonheur le bleu si particulier de la Méditerranée au sable de la plage et à la blancheur des embarcations » / Vue de Rabat / Danseuses Chleuhs à Marrakech / La Place Djema el Fna à Marrakech / Le Porteur d’eau (« brillant de toutes les flammes de ses gobelets de cuivre sur son corps noir » / Portrait de vedette de music-hall « qui fait penser à un moderne Toulouse-Lautrec avec le regard particulier d’un mauvais garçon placé à l’arrière-plan »
Dans cet article il est fait mention une fois encore de La Maison de Bonnard au Cannet acheté par l’État.
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition à la Galerie Chappe (Toulouse) du 2 au 15 février 1952 :
« Il y a entre cinquante de ses toiles exposées chez Chappe…une belle composition de Lagorre, celle d’un soir, à la maison ; trois hommes sont en présence, l’un va sortir, allume sa lanterne, le peintre d’ailleurs a répété un motif de vie familiale analogue un peu plus loin. »
« Par ailleurs, délibérément fantaisiste, il peint une scène de tendresse amoureuse en l’enluminant de courbes, de motifs , d’allusions locales »…
Parmi les œuvres exposées figurent les tableaux suivants :
Battage aux chevaux / Battage à Bethmale / Veillée des bergers / Rêverie du Vieux berger /
ainsi que des paysages de Normandie, de la Côte d’Azur et d’Afrique du Nord et aussi :
Mont Valier / Chasseurs d’isards / La petite église / Seix, fête locale sur les berges du Salat / L’aiguiseur de faux / Vieilles maisons à Bethmale / Balcons à Bethmale / Rencontre de bergers / La Seine aux abords de Rouen / Vieilles maisons (Normandie) / Corps de ferme (Normandie) / Jeunes veaux timides (Normandie) / Les bateaux dans le port d’Honfleur / Paysage d’Oranie / Le port d’Oran / Le Marchand de tapis / Portrait de jeune homme
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition au Conservatoire de Meknès (Maroc) janvier 1953 :
« A l’entrée de l’exposition, un trio de toiles est fort différent d’expression :
Petit château sous la neige « vue par une fenêtre ouverte, sur des toits couverts de neige, aux teintes gris bleutées et une sensation de froid qui s’en dégage d’autant plus que nous éprouvons la sensations inverse avec …/ Les crêpes « où le foyer lumineux et chaud fait rayonner une chaleur intense » / Jeune berger au chien / Veillée de bergers / Cabane de berger le soir / Bergers dans la cabane / Moulay Idriss, « toile très lumineuse, vue en échappée partant d’un coin de mur sombre qui, par contraste , rend plus lumineux l’aspect de la Ville Sainte en plein soleil » / Music-hall « portrait d’artiste gai et vif dans une atmosphère artificielle de théâtre » / Le Marché à la Koutoubia «très bigarré » / Le Fromager « ensemble de teinte ardoise, visage rude mais tout de même humain » / Le faucheur / La Rue du Coq / Le retour de pêche (« qui donne l’impression d’un vitrail éclairé par le soleil ») / Le port et la plage de Cannes « en style très moderne, couleurs crues » / Vers les étoiles « Tableau où les visages gris des gitans ressortent sur un fond bleuté et vert et donne une parfaite idée des nuits d’été en Espagne » / Foire en Ariège « entièrement travaillée par aplats en teintes unies sans un seul trait visible de pinceau » / Battage aux chevaux « C’est une étude des gerbes blondes dont la disposition forme une harmonie tant en lignes qu’en couleurs. »
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition à la Galerie La Boétie (Paris) 1954 :
Retour de pêche / Le Jardin de Bonnard / Printemps en Ariège / La source et le berger
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition à la Galerie Rivère (Paris) 1959 :
« Campements gitans, arènes multicolores et sanglantes, bergers ariégeois dignes et nobles comme des rois dans leur cabane sombre… » « Lagorre ne présente que trente tableaux mais à 45 ans il a peint plus de 1500 œuvres » / photo du Marché de Lerida
Parmi les œuvres présentées lors de l’exposition de 1965 (Hôtel Palace de Juan les Pins) :
« une série de peintures inspirées des paysages espagnols pour lesquels le peintre nourrit une véritable passion, Tolède et l’Andalousie avec leurs luminosités vibrantes et leurs teintes chaudes en sont le pivot et le fil conducteur qui nous font suivre en un enchantement de couleurs la démarche de l’artiste.»
Ruines et fleurs en Galice / Le Village andalou de Sarbas / Une gouache de Séville « aux teintes cuivrées »