« Quand il aborde la Côte d’Azur, Lagorre, libéré, entonne un hymne de lumière et de chaleur, par exemple dans cette végétation exotique au-milieu des terres rouges d’Agay.
La Méditerranée, ses bords heureux, il a su les rendre de ces tons invraisemblables et vrais, où se mêlent dans une même baie, par exemple, nappes d’azur, d’améthyste et d’émeraude… »
A.C., La Dépêche, 1er février 1952
Comme Matisse avant lui, René Gaston-Lagorre va prendre le temps d’un long apprentissage pour capturer la lumière et peindre les couleurs des paysages méditerranéens.